Big Band Café
À travers son écriture unique, féminine et poétique, Clarika dépeint la vie avec une autodérision et un humour empreint de tendresse. Sur scène, accompagnée de ses musiciens, Clarika rayonne et prend toute sa dimension : fragile, touchante, généreuse, et terriblement rock.
Son nouvel album, « Danse encore » célèbre trente ans de carrière. Danse encore : c’est un refus de l’immobile et de l’essoufflement. Le titre du neuvième album de Clarika traduit un geste d’obstination, un désir, le vœu de rester en mouvement. Danser encore, même si le sol tremble. Sans frein, danser au-dessus de l’anxiété générale et des petits tracas. Danser avec les figures familières et nouvelles. Faire valser nos intimes et en reconnaître la poésie.
Danser encore, c’est aussi, pour la chanteuse, ne pas se lover dans l’assise confortable qu’offrent trente ans de carrière. C’est poursuivre, oui, mais marquer la rupture: pour cet album et pour la première fois, Clarika a écrit et composé et les choix musicaux sont encore le signe d’une quête de renouveau.
Batteur depuis son plus jeune âge, Valentin Barbier est aussi multi-instrumentiste, auteur compositeur et producteur artistique. Musicien de Fake, Annabella Hawk, Bison Chic, il écrit et compose pour Joseph Kamel, Victor Deverre ou encore Harmo Draüs. Il se lance maintenant dans un projet solo en français, inspiré de l’énergie du rock, de la naïveté de la pop, de la mélancolie de la folk.
Il relève le défi de mettre en musique les textes lauréats de la 18ème édition de Chansons sans Frontières.
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