
/ Réduit et CE : 23 € / Prévente : 25 € / Sur place : 28 €
Réservez votre billet RETOUR à la programmation » Simplifier : le titre de l’album m’est tombé dessus comme une évidence, au début du mixage, comme si ce verbe contenait la mission.
Simplifier : Paul Le Galle, ingénieur du son et Alexis Delong, producteur, mixeur, musicien, ma pomme, et puis c’est tout, sur ce disque.
Simplifier : ce qui veut dire s’enfermer, seul, quelques mois, et composer des chansons avec les guitares, les basses et les rythmes. Les avoir toutes entières, comme, avant « Boire » dont la tournée anniversaire se déroulait en même temps. Simplifier : et donc s’infliger des contraintes. Comme celle de faire naître les morceaux à partir d’une seule boite à rythme, une Elka Drummer One de 1969, pas pour faire vintage, juste pour avoir des impulsions, des placements, simples, et chauds. Simplifier : écouter beaucoup de hip-hop, jouer peu d’accords, couper les ponts, enlever des couplets. Faire ramasser. . Et à partir des chansons enregistrées avec Paul, laisser Alexis rentrer dans les morceaux, et les emmener, parfois ailleurs. Simplifier : travailler à la maison, et demander à Nathalie Bihan, graphiste brestoise, et Vincent Gouriou, photographe brestois, de suivre le verbe. Simplifier : pas pour faire pauvre, où misérabiliste. Simplifier et ne rien s’interdire, les envolées comme les retenues. «
Lesneu pour Lesneven, ville de son enfance où Victor trouve refuge pour composer. C’est là qu’il y’a composé dans sa chambre d’ado “Lovin’” et “Bonheur ou Tristesse” une musique gorgée d’émotion et de sincérité, portée par cette voix et ces belles mélodies entre The Walkmen et Beach House.
Depuis Victor a installé son studio dans la chambre convoitée depuis toujours, celle du grand frère, pour enregistrer un album entièrement chanté en français « Ce qui ne vient jamais vraiment » paru le 4 mars 2022 chez Music From the Masses.
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