GUTS & Les Akaras de Scoville

A Brand New Revolution !
Aléas de la vie d’une formation musicale et distance géographique avec certains membre ont imposé à Guts le choix d’un renouvellement de son effectif pour attaquer les tournées dans les meilleures conditions A Brand New Revolution !
Leron Thomas a donc laissé sa place à Wolfgang Volburn, également chanteur de The Ephemerals. Mary May s’est installée sur le fauteuil royal de Lorine Chia. Beat Assailliant s’est saisi au vol du micro encore brûlant du flow de Von Pea. Avec l’indéboulonnable Florian Pellissier aux claviers, le polyvalent Greg F. à la guitare et Nico Rajao à la batterie,  c’est aux commandes de ce Live Band remanié que Guts a avalé des kilomètres et enchaîné les scènes.
Ce répertoire déjà bien rôdé, les nouvelles recrues l’avaient pourtant continuellement enrichi de leurs vibes, modifiant certains contours, apportant plus de soul ici, ou plus de légèreté là. Tant et si bien que l’idée a fini par s’imposer d’elle-même…
Galvanisés par cette alchimie renouvelée, Guts et son Live Band nouvelle génération ont donc fait un crochet en studio pour composer et enregistrer de nouveaux morceaux réunis dans Stop The Violence, un cinq titres aux allures de véritable mini-album plus que de
simple EP.
Dopés par ce juice régénérant, aiguilles d’énergie dans le rouge, Ain’t Perfect, Pick Me Up, Everybody Wants To Be a Star, Drummer’s Delight ainsi que le morceau-titre allument simultanément des cases soul, afro, disco et jazz, illuminant un groove largement tapissé de claviers rétro-funky et des cuivres de Cotonete, pensionnaires jazz-funk de Heavenly Sweetness.
D’une pierre, deux coups, Guts et son Live Band se serviront évidemment de Stop The Violence pour, après ceux des platines, déclencher leurs incendies scéniques.